Site icon Thibault Feugere

Satelia – Découverte du Growth Hacking

Growth hacking satelia

Lors de mon entretien de stage, il avait été évoqué que je puisse faire du Growth Hacking au sein de Satelia afin d’effectuer un transfert de compétences d’un étudiant qui comptait terminer ses études et monter sa propre entreprise.

Qu’est-ce que le Growth Hacking ?

Le Growth Hacking (littéralement « bidouilleur de croissance ») est un métier assez récent qui est très présent dans les startups. Le travail consiste à optimiser ou améliorer la croissance d’une entreprise, souvent dans un laps de temps très faible.
Dans ce domaine, les connaissances en informatique sont vivement recommandées car elles vont permettre d’automatiser de nombreuses tâches répétitives. La phase d’automatisation permet de libérer du temps précieux pour des tâches plus difficilement automatisables.

Lorsque je dois expliquer ce nouveau métier, j’aime souvent dire que le profil type est quelqu’un qui aime le commerce et l’informatique. En effet, les missions d’un growth hacker peuvent être :

Ce que j’ai réellement retenu et apprécié c’est qu’être un growth hacker, c’est avant tout un état d’esprit. Les compétences ne sont qu’un moyen pour parvenir à un but. Il est inconcevable d’imaginer qu’un growth hacker utilise les mêmes outils et techniques dans dix ans.

Méthodologie et éthique

Si vous faites un peu de veille digitale, vous avez peut-être déjà vu des articles très violents sur le métier de growth hacker. La profession se base très souvent sur les résultats et certaines personnes sont prêtes à tout pour en obtenir de meilleurs. Certains reprochent donc le manque d’éthique aux personnes de cette profession.

À Satelia, les lois sont scrupuleusement respectées, d’autant plus que nous travaillons dans le domaine de la santé. Aussi, une des méthodes que nous appliquons sont le « Faire, Faire faire, Automatiser ».
Cela permet à tout le monde de se rendre compte de la difficulté et du temps que peut prendre une tâche. Mais aussi des difficultés que d’autres peuvent rencontrer, cela permet de mieux définir les contours de la tâche et de réaliser le processus avant de le développer. Une fois le « Faire » et « Faire faire » réalisés, l’étape d’automatisation est beaucoup plus simple.

Growth Hacking, mon ressenti

Le transfert de compétences est terminé et je peux maintenir les solutions mises en place par l’ancien growth hacker. Comme les lignes ci-dessus le font comprendre, c’est un métier que j’admire énormément.
Cependant, ce n’est pas l’axe dont je souhaite m’occuper et dans lequel j’aimerais monter en compétences et m’épanouir. Mes missions restent axées sur le développement web et, vous le verrez dans les futurs articles, la cybersécurité (sécurité informatique) qui est le secteur qui me passionne le plus.

Quitter la version mobile